Depuis, l’hôpital avait relancé une partie de ses activités médicales, avec notamment la réouverture de trois salles d’opération, comme l’avait constaté l’une de nos collègues, parvenue à se rendre sur place le 22 janvier dans un convoi des Nations Unies. Un fonctionnement partiel et précaire dont le chef de mission MSF Leo Cans a également été témoin récemment dans le cadre d’une visite le 11 mars.
Malgré le manque de médicaments, de personnel, de nourriture et de fioul (nécessaire au fonctionnement des générateurs électriques), l’hôpital accueillait, à cette date, 236 patients et bénéficiait, entre autres, du soutien de deux infirmiers de MSF.